Nos déplacements : dans l'Hérault et les Bouches du Rhône

Ce week-end, avec plusieurs de mes colistiers, nous étions dans le Sud de la France pour aller à la rencontre des Jeunes Populaires de l'Hérault et des Bouches du Rhône.

Avec Thomas Quiene, colistier d'Indre et Loire et plus jeune membre d'un comité directeur de football, nous nous rendons tout d'abord à Béziers pour un débat en présence d'Elie Aboud, Député de l'Hérault.

En pleine feria, nous débattons avec les CNJP présents de notre programme pour les jeunes populaires, des différences que nous avons par rapport aux autres candidatures qu'il s'agisse de la communication ou de la représentativité des membres des différentes équipes, du lien avec l'UMP et nos élus ou des valeurs qui fondent la droite.

Le lendemain matin, départ dès 8 heures du matin de Montpellier afin de pouvoir être présents à l'étape de la caravane des idées à Marseille. Jean-Claude Gaudin, Roger Karoutchi, Renaud Muselier, Franck Riester, Jean Roatta et de nombreux élus locaux sont présents sur l'étape marseillaise. Coup de chapeau à Fabrice Durand pour la mobilisation et l'ensemble de l'équipe des Bouches du Rhône, notamment Jean Michel Muracciole, Délégué national et Sandra Blanchard, RDJ adjointe et nouvelle secrétaire générale du MET.

Avec Thomas Quiene, nous retrouvons deux autres de nos colistiers, Julie Cavelier, RDJ de la Drôme et Florian le Scanff, Responsable du MET Drôme-Ardèche.

Dans son discours, Roger Karoutchi, ancien secrétaire national à la Jeunesse au RPR, rappelle la nécessité du débat dans le cadre des élections internes des jeunes populaires, dans un climat qui se doit d'être apaisé et serein. Il invite d'ores et déjà l'équipe qui gagnera à s'ouvrir aux autres, une nécessité à mon sens, l'union devant être la plus large possible.

Surtout, au regard de l'actualité, Roger Karoutchi rappelle le sens des termes qui sont employés et leur dévoiement récent par des élus de la République pour qualifier les propositions du Président de la République. L'utilisation de termes chargés d'histoire (déclarations de Michel Rocard ou même d'un député de la majorité...) les banalise et rend donc d'autant plus difficile l'indispensable travail de mémoire...